«
Violences policières : quand l’IGPN est désavouée par la justice
Un brigadier-chef de la police nationale de Pau, qui avait dénoncé des violences présumées commises par un collègue lors d’une interpellation, a été poursuivi au pénal puis relaxé à deux reprises.
Rémi Dupré lundi 11 janvier 2021 Le Monde