Violences policières : quand l’IGPN est désavouée par la justice
Article mis en ligne le 11 janvier 2021

par Marsanay

Un brigadier-chef de la police nationale de Pau, qui avait dénoncé des violences présumées commises par un collègue lors d’une interpellation, a été poursuivi au pénal puis relaxé à deux reprises.

Rémi Dupré lundi 11 janvier 2021 Le Monde

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