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Au sein de la police, c’est une libération historiquede la parole. Twitter agrège une triple parole : celle de l’institution, qui tente de se moderniser ; celle des syndicats, en proie à la surenchère ; et celle de fonctionnaires souvent jeunes et sous pseudonyme. Le
credo de cette génération montante : la « haine antiflic ».
PAR DAVID DUFRESNE
ARTICLE PUBLIÉ LE DIMANCHE 5 JUILLET 2020 Médiapart