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Alors que le bilan des violences policières est dramatique, des policiers ont accepté de revenir sur les opérations auxquelles ils ont participé. L’un parle de « guérilla », un autre estime avoir été « instrumentalisé », un troisième adhère au mouvement tandis que le quatrième s’inquiète de sa suite.
15 novembre 2019 Par Pascale Pascariello Médiapart