Ce qui est remarquable lors des AG de cheminots, c’est que tout ceux et celles qui le veulent peuvent venir voir et écouter. Même si c’est l’intersyndicale et les syndicats qui s’expriment d’abord, les cheminot.e.s syndiqué.e.s ou non s’expriment quand ils le veulent pour donner leur point de vue.
Après l’AG et le vote, tous les secteurs en luttes, et plus particulièrement ceux qui soutiennent les cheminots, ont la parole. Aujourd’hui, 9 avril, ce sont les étudiants, la CGT Energies, le collectif de soutien aux cheminots, le personnel de l’Université Jean Jaurès du Mirail qui sont intervenus.
L’esprit de la convergence est là ; et c’est tout à l’honneur des cheminots et de leurs organisations de faire vivre une idée simple : la démocratie ouvrière. Ce n’est pas partout que l’on rencontre cette forme de démocratie. Certes, on a déjà vu les pompiers manifester avec les infirmières, les enseignants avec les hospitaliers...
Mais attention ce n’est pas parce que les étudiants ont nourri aujourd’hui les cheminots en organisant le repas que la convergence des luttes est réalisée. C’est plus complexe à mettre en œuvre que de réussir un le taboulé !

Nous avons laissé notre micro ouvert, tout d’abord l’intervention des syndicats, cgt, sud (en deux fois une histoire de bouton, qui rencontre un pied !) unsa, fo, cfdt. Puis deux cheminots particulièrement sur la forme de la lutte. Le collectif de soutien aux salariés de la SNCF.Une interview de Saintsupéry Laurent

intervention cgt

intervention sud1

intervention sud2

intervention Unsa

intervention fo

intervention cfdt

intervention d’un cheminot

intervention deuxième cheminot

interview Laurent Saintsupéry secrétaire cgt cheminots

intervention Patrick Mignard collectif de soutien aux cheminots
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