Cohen-Demorand, bonnet blanc, blanc bonnet
Maltraité sur France Inter, Philippe Martinez ne va pas connaître un sort bien différent sur Europe 1, où il est interviewé par Patrick Cohen, le 20 février. Ça commence très fort : « Question simple : est-ce qu’il y aura des trains au printemps ? [...] Et des trains qui r
Réforme de la SNCF (4) : les matinales radio à l’unisson contre la grève
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Pour Le Monde ? C’est inéluctable.
Le JDD n’est pas le seul journal à acclamer les projets de libéralisation du rail du rapport Spinetta. Le Monde a également décidé de se jeter lui aussi dans la fameuse « bataille du rail ». Le « journal de référence » reprend une rhétorique qui lui est chère – la réforme est « inéluctable » – et répartit d’ores et déjà les bons et les mauvais points, selon que les protagonistes sont « lucides » ou entêtés.
Réforme de la SNCF (1) : premiers tirs de barrage médiatiques
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Réforme de la SNCF (2) : débats télévisés ou guets-apens pour syndicalistes ?
Mille et une merveilles du « modèle britannique » sur Arte
Notre revue des débats télévisés se poursuit avec l’émission du 19 février de « 28 minutes » sur Arte. Elisabeth Quin et son équipe proposent un débat sur la réforme de la SNCF : « Peut-on tout changer sans dérailler ? » et là encore, la composition du plateau n’est pas équilibrée loin s’en faut : y figurent Jean-Marc Daniel, seul « expert » du plateau, farouche partisan de la privatisation (y compris dans l’Éducation nationale) ; Bruno Gazeau, président de la FNAUT (Fédération nationales des associations d’usagers des transports) et favorable à la mise en concurrence de la SCNF ; et enfin Charlotte Girard de la France Insoumise, opposée au rapport Spinetta.
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Réforme de la SNCF (3) : quand les « Grandes Gueules » s’en mêlent
« Vous n’allez pas faire la grève là ? Là c’est pas possible de faire la grève ! »
Mais commençons par le début : les trois chroniqueurs, comme les deux animateurs, sont d’accord sur l’essentiel : le rapport Spinetta est trop timide d’une part, et les syndicats se battent sans attendre, d’autre part, pour défendre ce que Gilles-William Goldnadel appellera au moins à trois reprises leur « vache sacrée ». Le reste ne sera que variations sur le nuancier de la pensée de droite dure. Une parole salariée représentée ? Oui, même deux ! Mais voyons dans quelles conditions…
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